Kébili

Les apports en eau s'améliorent RESSOURCES HYDRIQUES ' BARRAGES


Les apports en eau sont répartis entre les gouvernorats du nord avec 624 millions de m3 contre 185 millions de m3 à la même période de l'année précédente, les gouvernorats du centre avec 135 millions de m3 contre 11 millions de m3 à la même période de 2017, le Cap Bon avec 77 millions de m3, une année plus tôt.Des quantités variables de pluies se sont abattues dans la plupart des gouvernorats, depuis le début du mois de septembre 2017 au 31 décembre 2018. Ainsi, les quantités de pluie enregistrées ont oscillé entre 400 mm dans le gouvernorat de Nabeul et 8 mm dans le gouvernorat de Kébili. La moyenne a été dépassée dans tous les gouvernorats excepté ceux de Kébili, Sfax, Tozeur, Gabès, Sidi Bouzid et Gafsa.
Les quantités enregistrées dans le gouvernorat de Bizerte ont été de 396 mm, contre 394 mm dans le gouvernorat de Jendouba, 331 mm dans le gouvernorat de Béja, 259 mm dans la région de Monastir, 254 mm dans celle de Sousse et 245 mm dans le Grand Tunis. Ces pluies ont eu des retombées positives sur l'alimentation des barrages dans la mesure où les apports ont augmenté de 201 millions de m3 au 31 décembre 2017 à 836 millions de m3 au 31 décembre 2018, ce qui a entraîné une évolution des réserves d'eau de 623 millions de m3 au 31 décembre 2017 à 1.250 millions de m3 au 31 décembre 2018. Ces réserves constituent 58% de la capacité des barrages.
Remplissage des barrages
Ces apports en eau sont répartis entre les gouvernorats du nord avec 624 millions de m3 contre 185 millions de m3 à la même période de l'année précédente, les gouvernorats du Centre avec 135 millions de m3 contre 11 millions de m3 à la même période de 2017, le Cap Bon avec 77 millions de m3, une année plus tôt. Les barrages ont enregistré une hausse du niveau des eaux. Au barrage de Sidi Salem, le taux est de 41% avec 224 millions de m3 en 2018 contre 107 millions de m3 en 2017.
Au barrage Sidi Barraq, le taux est de 99% avec 286 millions de m3 en 2018 contre 134 millions de m3, une année plus tôt. Au barrage de Sejnane, le taux est de 75% avec 101 millions de m3 contre 41 millions de m3, l'année précédente. Au barrage de Bouhertma, le taux est de 42% avec 47 millions de m3 en 2018 contre 39 millions de m3 en 2017. Au barrage de Mellègue, l'un des plus anciens, le taux est de 69% avec 35 millions de m3 en 2018 contre seulement 5 millions de m3, une année plus tôt.
Enfin, le taux au barrage de Nabhana est de 31% avec 18 millions de m3 contre 5 millions de m3 en 2017. L'année dernière a été caractérisée par une pluviométrie abondante, ce qui a permis d'améliorer le niveau des barrages. Ces ressources hydriques vont se répercuter incontestablement sur la production agricole dans plusieurs régions. A noter que les agriculteurs ont toujours demandé plus d'eau pour accroître la productivité notamment dans les zones irriguées.
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